lundi 17 décembre 2007

Commentaire d'Albert BENSOUSSAN ,17 Dec 2007

Chère Amie,
J'ai lu avec beaucoup d'intérêt et de plaisir (malgré la gravité du sujet) votre "Livre de Carmen", que je recommande aussitôt auprès de la "Quinzaine Littéraire". Nous l'avons d'ailleurs lu à deux, en confrontant notre point de vue, totalement enthousiaste. C'est un beau livre, grave et dramatique, sur la condition féminine (la femme humiliée) sur fond de pinochetisme. Bravo, je vous félicite, et trouve que vous avez su trouver et votre style et votre voix, au sein d'une structure romanesque originale. Votre roman passe très bien la rampe et je vous souhaite tout le succès que vous méritez.
Bonnes fêtes de fin d'année,
Amicalement,
Albert


Il y a des mots qui valent tous les autres. Ils sont si précieux qu'on hésite à les partager. Mais la vanité l'emporte..., la reconnaissance aussi. C'est avec l'autorisation de celui que sans jamais l'avoir rencontré, j'ose appeler mon parrain (depuis qu'il a suggéré dans une lettre à Denis Pryen d'éditer mon premier livre) que je publie ces lignes. Si vous ne le connaissez pas, alors vous avez tort. Il est, entre autres choses, l'un de plus grands traducteurs des auteurs d'Amérique latine et un merveilleux écrivain.



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mercredi 28 novembre 2007

Dauphiné Libéré du 28 novembre 2007 (page 12)


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dimanche 18 novembre 2007

Coloquio Literaturas mestizas en America Latina (CRLA-ARCHIVES) 18/11/2007

17-19/11/2007

Centre de Recherches Latino-Américaines (CRLA-Archivos)

Literaturas mestizas en America Latina : Estética e ideología

Encuentro con las escritoras Milagros Palmas y Maria London

Intervenant(s) :

M. Henri Billard, Université de Poitiers.

Mme Milagros Palma, Escritora, Nicaragua.

Mme Maria London, Escritora, Chile.

[18/10/2007] 00h 54min 43s

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jeudi 8 novembre 2007

Rencontre dédicace, à 20h le 23 novembre à Saint Martin d'Hères


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Ces belles invitations,
illustrées avec un détail d'un mur peint au Chili, ont été conçues par le service d'information de Saint Martin d'Hères. La rencontre est prévue à 20h à la Bibliothèque Municipale Paul Langevin, 29 place Karl Marx de Saint Martin d'Hères.


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mercredi 3 octobre 2007

Commentaires de lecteurs

« Au delà de l'histoire d'une femme c'est l'histoire des femmes à travers le monde. Bravo et surtout merci pour ce livre» Une lectrice.

« ... La brièveté du livre ne contredit pas la relative complexité de sa construction… Une tension d’autant plus forte et captivante pour le lecteur que le destin de la protagoniste s’identifie et se confond peu à peu avec celui de son pays. Un roman à lire d’urgence. » Claude Fell. Tribune des livres, Maison de l’Amérique latine. Paris, 7 juin 2007.

« Entre fiction et témoignage, un livre d’une très grande force !» Librairie Decitre Grenoble. 30 juin 2007.

« J'ai beaucoup aimé ce livre et je le relis à chaque fois que j'ai l'occasion. Pour moi, quand on le lit, on est transporté. Le lecteur n'est plus lecteur, mais spectateur. Merci et bravo. » Une lycéenne

« Un très beau roman» Michèle Caron, Radio France Bleu Isère. Chronique à vous de lire, 29 juin 2007.

« Ton roman m'a beaucoup touché. Il est vraiment très beau. Sûrement un beau cadeau pour le Chili, son histoire, et les femmes chiliennes. Je le conseille autour de moi du mieux que je peux. A quand le suivant ?» Un ami.

« C’est le récit des rêves brisés d’une femme amoureuse dont le décor est un pays brutalement privé de liberté, où le machisme ancestral donne cours aux excès d’une cruelle dictature. Mais c’est aussi un vibrant cri d’espoir et un appel aux femmes au travers le monde pour la véritable conquête de leurs libertés. Ce court ouvrage de 100 pages - qui se révèle quasiment un thriller- peut fièrement prétendre sa place dans la catégorie de bons romans.» YM (Dauphiné Libéré de Grenoble, 15 août 2007)

« J'ai attaqué Le livre de Carmen hier soir ... et terminé ce matin ... il se dévore et m'a beaucoup touchée. Chapeau, tu as plus que du talent.» Une amie.

« Après l’avoir lu, je l’ai offert à mes deux filles.» Une lectrice.

« Les élèves du lycée l’aiment vraiment.» Une enseignante au lycée Albert Camus à Rillieux-la-Pape.

« Je voulais te dire que j'ai adoré ton livre Carmen. J'ai fini d'une traite et je me suis régalée? Quelle belle histoire! Si j'avais su, je l'aurais lu plus tôt...» La fille de 19 ans d'une amie.

« Vous devriez écrire des polars». Gérard Meudal, journaliste au Monde des livres, spécialiste du polar.

«J'ai lu avec beaucoup d'intérêt et de plaisir (malgré la gravité du sujet) votre "Livre de Carmen", que je recommande aussitôt auprès de la "Quinzaine Littéraire". Nous l'avons d'ailleurs lu à deux, en confrontant notre point de vue, totalement enthousiaste. C'est un beau livre, grave et dramatique, sur la condition féminine (la femme humiliée) sur fond de pinochetisme. Bravo, je vous félicite, et trouve que vous avez su trouver et votre style et votre voix, au sein d'une structure romanesque originale. Votre roman passe très bien la rampe et je vous souhaite tout le succès que vous méritez.» Albert Bensoussan. 17 décembre 2007.

«Je lis toujours les écrits de femmes avec beaucoup de respect. Ce livre le force vraiment et m'a énormément touché.» Un lecteur

«Captivant et plein d'espoir, mais aussi terrifiant. Je n'a pas pu m'arrêter en cours de lecture. Merci.» Une lectrice

« Bonheur de t'avoir lue! C 'est vraiment un très, très beau livre que tu as écrit là, qui aborde avec un curieux mélange de légèreté, d'humour et de distance, un sujet grave. Bizarrement, en te lisant, je pensais que le monstre ici ce n'est pas tant "***" que le poids qu'une certaine morale faisait (fait encore ?) peser sur la société, particulièrement sur les femmes...» Un ami.

«Merci pour ce livre qui raconte l'histoire de cette Candide jeune femme qui vécut un Amour malheureux. Elle prendra sa Revanche sur cet esprit Malin qui brisa ses Espérances et lui fit un avenir Noire et sombre.» Une lectrice proche.

« Nous allons le faire connaître auprès d’Amnesty International.» Des lecteurs, au café lecture de Corrençon en Vercors.

«Juste un petit mot pour vous dire que j'ai beaucoup aimé votre livre, qui m'a profondément touchée.» Une bibliothécaire de Grenoble

«Je vous félicite d'avoir écrit cette histoire qui m'a beaucoup touchée tant sur la forme que sur le fond. Le parallèle entre les traitements infligés par les hommes à votre jeune héroïne et ce que subit son pays à la même époque, est très percutant et nous pourrions, hélas, tracer des parallèles similaires, encore aujourd'hui, dans de nombreux pays.» Une lectrice rencontrée à Grignan.



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lundi 1 octobre 2007

Publication dans Espaces latinos

Cette critique, mise en ligne depuis quelque temps dans mon site, a été publiée dans le numéro 242, de Septembre-octobre 2007, du magasine Espaces latinos


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Sur le Dauphiné Libéré de la Drôme, 29 septembre 2007



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samedi 8 septembre 2007

Aux Châteaux de la Drôme, Les Rencontres de Grignan, Femmes en littérature, 30 septembre 2007


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Il doit y avoir un malentendu. J’ai publié un récit autobiographique, puis un premier roman ; il m’arrive parfois d’écrire des poèmes ou de la prose poétique, mais je ne suis pas "Poète". Ceci dit, je suis heureuse d’être invitée à participer aux Rencontres de Grignan.


Ouverture


Mon regard est lucide, mon cœur est ouvert


Mon regard est glacial, ma poitrine est ardente


Je marche immobile hors du temps.


Je suis le temps.




Sur mon corps non ridé les âmes se reflètent.

J'habite la chair des hommes.


La douleur de ceux qui souffrent transperce mes sens,


faisant jaillir, depuis sa source,


le chant perpétuel de la création.



Grenoble, octobre 2001

Texte inspiré par la sculpture "Ouverture" de Marie Mathias

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dimanche 19 août 2007

Le Dauphiné Libéré, 15 août 2007, page 13



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mercredi 15 août 2007

Trame et écriture ( un regard d'auteur)

Ce roman fait un parallèle entre la vie amoureuse tourmentée d’une jeune femme et celle d’un pays, dont les rêves libertaires sont fracassés par un violent coup d’État. Cette femme veut, à tout prix, croire en la bonté de l’homme, mais lorsqu’elle rencontre celui qui pourrait la rendre heureuse, son éducation, trop conservatrice, l’empêche de prendre les bonnes décisions. Elle subira peu à peu, et in crescendo, certaines des violences morales faites couramment aux femmes en Amérique latine.

Cette histoire serait une banale histoire de misogynie, si la protagoniste ne découvrait pas, des années plus tard, que l’homme, le pire qu’elle ait jamais croisé, était à l’époque parmi les plus infâmes complices de la répression. La toile de fond est celle de la violence d’une dictature, et aussi celle d’un pays où règne l’impunité et qui voudrait oublier son passé.

L’histoire est construite comme un thriller, avec un suspense et un dénouement, autour d’un huis clos, sur un scénario assez classique : une femme écrivain est sollicitée pour écrire sur l’homme qui, trente ans auparavant, a brisé sa vie. La narratrice, après cette demande, hésite, puis elle décide d’en faire un roman, écrit à la troisième personne et d’une manière très convenue. En même temps, une voix off en italique, à la première personne, nous livre entre les lignes un deuxième regard sur la même histoire, plus vivant et chargé d'autodérision et, enfin, quand ni le roman, ni la voix off peuvent s’exprimer, c’est le poème « La Solitude » de Neruda qui prend la relève.

Trois protagonistes donnent vie au huis clos : Carmen, Gabriela et Alain, plus un personnage secondaire, Blanca, l’épouse d’Alain.

Carmen est donc une femme blessée, qui a quitté son pays pour l'Espagne où elle est devenue écrivaine (à succès) de romans à l’eau de rose. Des hommes ont marqué son passé : André, son premier amour, Diego, un ami, et Sandro, celui qui l’a humiliée.

Gabriela, écrivaine aussi, est une ancienne exilée politique qui est revenue vivre au pays. Elle incarne la mémoire, le désir de justice. Elle a toujours milité pour la défense des droits des femmes. Gabriela est amie de longue date de Blanca et est devenue amie épistolaire de Carmen, qu'elle héberge, lors d'un court séjour au pays.

Carmen, qui accompagne Gabriela à la fête d'anniversaire de Blanca, apprendra au début de la soirée qu’Alain est le frère de Sandro, et que ce dernier est mort depuis quelques années. C'est Alain, un personnage par ailleurs assez ambigu, qui demandera à Carmen d’écrire sur Sandro...


J’ai écrit ce livre pour le plaisir de l’écriture, mais aussi, en pensant à mon pays. C’est ma manière à moi de lutter contre l’oubli.



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mardi 14 août 2007

Claude Fell commente "Le livre de Carmen"

Chère Madame,

Je vous envoie comme convenu une brève notice sur votre livre que j'ai aimé, comme voulait l'indiquer mon intervention à la dernière Tribune des Livres de la Maison de l'Amérique latine.

Après un récit autobiographique, Tisseuse de mémoires de la Patagonie aux Balkans (L’Harmattan, 2003), María London, née au Chili et résidant en France depuis 1976, propose ce premier roman, Le livre de Carmen (Éditions Indigo&côté-femmes). Comme son titre l’indique, ce court récit retrace la trajectoire existentielle d’une femme, Carmen, dans un pays et à une époque qui ne sont pas spécifiquement nommés, mais qu’un lecteur moyennement informé peut assez facilement identifier comme le Chili des années qui ont immédiatement précédé et suivi la dictature du général Pinochet, malgré la phrase lancée en exergue du livre : « Toute ressemblance avec des personnes existant ou ayant existé serait purement fortuite ». Cette non explicitation du contexte géographique et historique suggère évidemment que ce type de situation est universel et pourrait se retrouver dans d’autres pays d’Amérique latine ou d’ailleurs. La brièveté du livre ne contredit pas la relative complexité de sa construction, à partir de l’imbrication savamment calculée de trois niveaux narratifs : d’un côté, l’histoire de Carmen, de ses rapports relativement tumultueux avec les hommes et de son exil en Europe ; de l’autre, les commentaires que Carmen émet sur sa façon de raconter sa propre histoire, sur les livres qu’elle publie (« des histoires très romantiques ayant toujours une fin ridiculement heureuse »), sur l’aventure parfois scabreuse que représente l’écriture d’un roman. Un troisième plan interfère avec les deux autres sous la forme de fragments d’un poème de Pablo Neruda intitulé « La solitude ».

Construit de façon circulaire, avec une situation particulièrement dramatique qui se retrouve au début et à la fin du livre, Le livre de Carmen donne une image à la fois pathétique et mélancolique de la condition féminine ; Carmen semble s’être résignée à assumer son « incapacité à aimer les hommes ». Ce récit douloureux et apaisé contraste avec la véhémence des interventions de Carmen à propos de son témoignage mais aussi de ses propres écrits de fiction. Cette alternance de troisième et de première personne crée une tension d’autant plus forte et captivante pour le lecteur que le destin de la protagoniste s’identifie et se confond peu à peu avec celui de son pays.

Un roman à lire d’urgence.

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lundi 13 août 2007

11 Août, lors du Café-lecture à Corrençon-en-Vercors

Si Corrençon-en-Vercors et ses café-lecture n'existaient pas, il faudrait les inventer.

Quel plaisir que de partager Le livre de Carmen avec un public aussi attentif et dans un lieu aussi accueillant! Lors du café-lecture autour de Tisseuse de mémoires de la Patagonie aux Balkans, fin décembre 2003, j'avais trouvé la même ambiance chaleureuse. Dommage que mon troisième livre ne soit pas pour bientôt.
(avis aux groupes de lecture intéressés: je participe volontiers à des rencontres de cette nature. )

Un grand merci à tous les présents, à tous mes amis corrençonnais, et en particulier,

à Martine et Michel du Relais les 2 Moucherolles,

à Anne-Marie Jannet et à Rémi Gauthier pour leur organisation

et à Yves Marque pour son intérêt de lecteur et ses photos.

( les photos ci-dessous ont subi un traitement "craie et fusain" afin de respecter le droit à l'image des participants)











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lundi 2 juillet 2007

Dédicace et lecture d'extraits avec Sophie Vaude, chez Decitre, ce 30 juin




Le livre de Carmen est disponible en magasin depuis début juin, et très bien exposé. (DECITRE l'expédie rapidement si on le commande chez eux par Internet(cliquer ici).)

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vendredi 29 juin 2007

Sur les ondes de France Bleu Isère

En ce 29 juin, j'ai eu l'honneur et le plaisir d'être l'invitée de Michèle Caron de Radio France Bleu Isère pour parler de mon ouvrage "Le livre de Carmen" dans sa chronique "à vous lire".

Merci Michèle Caron !!

Pendant quelques jours, vous devriez pouvoir écouter
cette émission en cliquant ici.


Maria London est née au Chili, elle réside en France depuis 1976, auteure de poésie et de nouvelles, elle signe là son premier roman, un roman dans lequel elle raconte la vie d'une femme écrivain émigrée en Espagne qui à l'occasion d'une visite dans son pays en Amérique Latine est solicitée pour écrire sur l'homme qui a brisé sa vie.
A travers cette histoire Maria London brosse le portrait d'une femme blessée qui va connaître des humiliations successives, qui va se retrancher dans une sorte de gel sentimental et qui sortira de ce vide grâce à la revanche que lui permettra l'écriture de son livre.
L'auteure juxtapose l'histoire de l'héroïne avec celle d'une dictature , à l'origine de la violence faite aux femmes ou à un peuple, on retrouve des hommes qui font preuve d'un machiavélisme sordide et le premier homme qui est à la source du malheur de Carmen est un médecin qui refuse de lui prescrire une contraception et lui interdit donc d'aimer.
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vendredi 8 juin 2007

Maison de l'Amérique latine, Tribune des livres, 7 juin 2007

(cliquez sur l'image ci-dessus, elle s'agrandira)
Et merci à Monsieur Claude Fell d'avoir aimé Le livre de Carmen, de m'avoir invitée et de l'avoir dit.












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samedi 12 mai 2007

PARUTION



Imaginer, oser, s’aventurer, écrire un mot, puis un autre

s’exposer, se livrer, inventer, jouer, se cacher, se dire.


Dire les autres, dire la vie, dire le monde, dire la femme

confondre réalité et désirs, dire le pays, dénoncer, crier,

rire aussi, ne pas s’en priver, ridicule parfois, et alors ?


Naissance d’un livre, fragilité, peur, joie, attente,

parution, s’en séparer.

Imaginar, atreverse, aventurarse, escribir una palabra, otra después

exponerse, develar, inventar, jugar, esconderse, decirse.

Decir los otros, decir el mundo, decir la mujer

confundir deseo y realidad, decir el país, denunciar, gritar

reír también, sin privarse, ¿ridícula quizás?, ¡qué importa!


Nacer de un libro, fragilidad, temor, alegría, espera,

parir el libro, separarse de él.

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vendredi 11 mai 2007

9 mai 2007, à Caen, Rencontre d'écrivains d'Amérique Latine en France


L’occasion de connaître mon éditrice de Le livre de Carmen, Milagros Palma, et de partager le plaisir des écritures d’autres femmes latino-américaines en France.

Ce fut une journée riche en rencontres et très chaleureuse, grâce à l’accueil qui nous était réservé.



(cliquez sur l'image ci-dessus, elle s'agrandira)

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